Le présent blogue fait suite à un commentaire reçu en date du 7 octobre dernier sur mon blogue « Joseph, terreur des démons (2) ». Louise nous faisait part de l’information suivante : le mois d’octobre a été déclaré « Mois de la santé ». Alors vous comprenez bien que le sujet m’a vivement intéressée.
Je remarque que plusieurs organismes font la promotion du mois de ci ou du mois de ça en santé. Il y a le mois de la santé de l’œil, toujours en octobre, le mois de la santé rénale en mars, le mois de la santé buccodentaire en février pour les animaux et en avril pour les humains, et le mois de la santé au travail en octobre. Et ce, dans un seul premier coup d’œil sur internet. Décidément, la santé intéresse tout le monde.
Le mois de la santé au travail est une initiative de l’Institut national de la qualité (INQ), via son organisme appelé le Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail (CCHST). On suggère la thématique suivante : « Esprit sain, corps sain, travail sain… Un milieu de travail positif fructueux ! ». D’après les informations obtenues par Louise, une grande importance est accordée à la santé mentale au travail. Pour que nous puissions saisir l’envergure du problème, voici des statistiques recueillies sur le site de l’hôpital Louis-H. Lafontaine.
« Les problèmes de santé mentale en milieu de travail coûtent aux entreprises canadiennes près de 14 pour cent de leurs profits annuels nets, soit jusqu’à 16 milliards de dollars annuellement. Selon des calculs plus récents, qui tiennent compte des coûts indirects, l’économie canadienne perdrait jusqu’à 30 milliards de dollars par année à cause de problèmes de santé mentale et de toxicomanie ».
J’ai déjà un peu abordé la détresse psychologique dans certains de mes blogues mais étant donné qu’il s’agit là d’une préoccupation majeure « canadienne » et que la canonisation d’André Bessette aura lieu dans cette conjoncture, j’aimerais apporter quelques éléments de réflexion sur le sujet jusqu’à la canonisation.
Faisons notre part !
Colombe LeRoy