La taille d’un arbre n’est pas le produit d’une génération spontanée. Une graine a d’abord été plantée et elle a fait des racines.
Dans mon blogue intitulé «L’Oratoire Saint-Joseph et Émile Combes», je posais une question que je reprends ici, à peu près dans les mêmes termes : le développement inattendu et considérable qu’a connu l’Oratoire Saint-Joseph, au cours d’une période peu favorable à l’Église, n’est-il pas le signe de la profondeur des racines chrétiennes au Canada, et au Québec en particulier ?
Pour expliquer la croissance d’un tel Oratoire, je pense qu’il nous faut remonter jusqu’au dix-septième siècle. Je me propose de sonder ses racines dans mes prochains blogues.
Francine D. Pelletier
Demain : « Le dix-septième siècle et les laïcs »