En faisant votre magasinage de médecines douces, avez-vous remarqué que chacune d’entre elles a tendance à se présenter comme « LA » thérapie ? Elles ont pourtant quelque chose en commun, c’est qu’elles se servent toutes d’un type d’énergie ou l’autre. Nous sommes faits d’énergie, nous sommes environnés d’énergie, nous sommes incorporés dans un monde d’énergie en pleine interactivité. Dans notre langage, la prière a même été remplacée par celle-ci : « Envoie-moi de la bonne énergie », dit-on.
S’il y a de la bonne énergie, faut-il conclure qu’il y a de la mauvaise énergie ? Si c’est de la mauvaise énergie, la personne guérira-t-elle ? Et si elle guérit, y aura-t-il des effets secondaires ?
Y a-t-il un lien entre l’énergie physique et l’énergie que l’on dit « spirituelle » ? Le miracle, la guérison, sont-ils le résultat de ces deux énergies combinées ?
Y a-t-il un risque à mélanger n’importe quelle sorte d’énergie ?
Dans mes prochains blogues, je vais essayer de voir si, dans ce cocktail énergétique, il y aurait quelque chose qui s’applique à l’huile de Joseph, en tout, en partie ou pas du tout. Je me permettrai peut-être quelques digressions, mais toujours dans le même but.
Colombe LeRoy
Demain : « Positif ou négatif ? »