Je ne suis pas certaine de ce que j’avance, mais je pense à mon grand-père qui, je crois, a offert sa vie pour son fils qui était mourant. Il avait dit avant sa mort: «Ce n’est pas lui qui devrait partir, il est encore jeune, c’est moi». Il est décédé subitement d’un anévrisme cérébral et son fils a recouvré la santé peu de temps après son décès, ce qui a permis à ce dernier de vivre encore plusieurs années.
Oui, il y a une catégorie de malades qui vivent bien leur maladie. Ce sont des gens qui souvent offrent leurs souffrances pour d’autres. Je place aussi dans cette catégorie tous ceux qui souffrent pour de bonnes causes. La maladie devient alors précieuse et n’est pas inutile.
J’ai rencontré dans ma vie de ces personnes qui ont été très éprouvées et qui ne se sont pas découragées, elles se sont même épanouies dans la maladie et la souffrance.
Cette dernière catégorie étonne et questionne sur la mystérieuse réalité de la souffrance.
Si vous êtes de cette catégorie… dites-le-moi, car j’aurais des intentions de prière à vous confier…
Un grand merci!
Colombe LeRoy
Demain : «Besoin de guérison»