Aborder la thématique de la maladie n’est pas chose facile. Je vais tenter de nous situer par rapport à celle-ci. Selon moi, il y a cinq sortes de malades :
Il y a les mortifiés.
Il y a les accros.
Il y a les révoltés.
Il y a les malades malades.
Il y a enfin les bienheureux malades.
Dans chacune de ces catégories, certains veulent être guéris et d’autres ne veulent pas être guéris pour toutes sortes de raisons. Le rapport entre la maladie et la guérison n’est pas simple. C’est peut-être ce qui nous porte à croire au destin. D’une certaine façon, c’est plus facile…
Colombe LeRoy
La suite : «Les mortifiés»